IPT m’a apporté le soutien extérieur et neutre dont j’avais besoin à ce moment critique de ma vie. J’ai pu ainsi dépasser mes préjugés, mes craintes et avoir une vision plus claire de ce je devais changer. J’ai aujourd’hui retrouvé un équilibre de vie et un emploi qui me correspond.

David Johnson-Vuarraz

Responsable informatique

Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis d’origine britannique mais de nationalité suisse et j’ai 57 ans. J’habite à Neuchâtel, je suis divorcé et papa de 3 enfants. Ingénieur en informatique de formation, j’ai évolué dans ce domaine pour exercer la fonction Project Manager durant les 10 dernières années de mon activité.  

Quelle était votre situation avant de rejoindre la Fondation IPT ?
Mon métier m’a permis de travailler en Suisse mais aussi en Espagne, aux Etats-Unis et à Londres. Cette carrière était difficilement conciliable avec une vie de famille, alors j’ai décidé de me mettre à mon compte et de me fixer à Neuchâtel. J’avais suffisamment de mandats pour subsister mais aussi et subitement beaucoup de choses à gérer seul en tant qu’indépendant. A partir de mars 2020 et avec la situation sanitaire, de nombreux mandats ont été suspendus ou annulés, et j’ai dû travailler à la maison à plein temps. Dans ces circonstances auxquelles se sont greffés d’autres facteurs, professionnels et personnels, je me suis retrouvé en situation de burnout avec suivi psychologique.

Sur quels aspects avez-vous principalement travaillé durant votre coaching ?
En arrivant chez IPT, j’avais perdu toute confiance en moi ; j’étais extrêmement stressé et complètement déconnecté. Dès le premier entretien et le bilan initial, un coaching personnel s’imposait. J’avais moi-même besoin d’un éclairage extérieur pour comprendre ce qui m’arrivait. Le module « Se dépasser », portant surtout sur la gestion du stress et des émotions, a été déterminant. Covid oblige, la formation s’est faite par vidéoconférence mais l’interactivité a toujours été de mise. J’ai également travaillé à la réalisation d’un CV plus concis et à la rédaction d’une lettre de motivation pertinente, un exercice qui m’était totalement étranger.

Comment avez-vous trouvé le poste que vous occupez aujourd’hui ?
Parallèlement au coaching IPT, j’ai répondu à une offre d’emploi émanant de l’Etat de Neuchâtel. Le travail avec IPT m’avait rendu plus sûr de moi et j’étais enfin capable de me lancer, même si je ne répondais pas à toutes les conditions. Entre un placement probatoire proposé dans une entreprise partenaire d’IPT et cette possibilité de poste à 100%, j’ai choisi la seconde solution. Je ne le regrette pas puisque j’occupe actuellement le poste de responsable de projets techniques au service informatique de l’Etat. Je reste toutefois en contact avec mes conseillers IPT sur qui je peux toujours m’appuyer si nécessaire.

Que retenez-vous de votre expérience IPT ?
IPT m’a surtout apporté le soutien extérieur et neutre dont j’avais besoin à ce moment critique de ma vie. J’ai pu ainsi dépasser mes préjugés, mes craintes et avoir une vision plus claire de ce que je devais changer à mon niveau. Par exemple, mon conseiller m’a rapidement démontré que je n’avais pas les qualités requises pour travailler en indépendant. Riche de cette expérience et de ce parcours salutaire, j’ai aujourd’hui retrouvé un équilibre de vie et l’envie d’aller de l’avant.